Robert me surprenait au début de notre relation car autant je sentais son intérêt pour le sexe, autant il passait rarement (et il faut bien le reconnaître, pas très brillamment) à l’acte. Il adorait le sexe mais cela se passait en grande partie dans sa tête. Aussi, ne fus-je qu’à moitié surprise lorsqu’un jour où je lui demandais ce qu’il désirait pour son anniversaire, il me répondit (après quelques hésitations) qu’il n’aimerait rien tant que de me voir faire l’amour avec deux hommes !

Il faut dire, pour bien comprendre la situation, que nous n’étions mariés que depuis six mois et Robert n’ignorait pas que je lui avais déjà fait quelques infidélités. Mais je fis semblant de prendre cette demande à la plaisanterie et il n’insista pas. Les jours qui suivirent, j’y repensai à plusieurs reprises. Oui évidemment, c’était un désir un peu étrange mais je n’étais pas non plus une épouse ordinaire. Et j’avoue que la perspective de faire l’amour avec deux hommes, ce qui ne m’était pas arrivé depuis longtemps, me séduisait assez. C’est pour moi aussi bon que de faire du sexe en direct sur la webcam. Aussi, trois jours plus tard, je dis à Robert :

– Si tu le désires vraiment, je suis d’accord, mais tu t’en occupes, tu organises ça… Je ne veux pas avoir à m’en occuper.

Les jours passèrent. Robert ne me dit rien de l’avancement de ses projets mais je suis sûre qu’il s’en occupait car c’est un champion pour l’organisation. Un jour enfin, il me dit :

– Tu es toujours d’accord ?

Il n’eut pas besoin de me dire pourquoi. À son ton, je l’avais deviné tout de suite.

– Oui, je te l’ai dit…
– Et bien c’est pour ce soir…
– Ce soir ? Lui dis-je surprise, mais ce soir ce n’est pas possible; nous recevons tes amis du club de rugby, tu l’as oublié ?
– Non, je n’ai pas oublié… Précisément.
– ???

J’avoue que cette fois, il me laissa sans voix. Ainsi, c’était ce qu’il avait imaginé. Depuis quelque temps en effet, Robert s’occupait de la trésorerie d’un club de rugby de la région et ce soir-là, il avait invité deux autres responsables du club : André l’entraîneur et Henry le directeur sportif. Ainsi, c’était eux qu’il avait choisis. Je dois dire que je m’attendais à tout sauf à cela car j’avais pensé que, s’il désirait me voir faire l’amour avec deux hommes, il s’agirait de deux hommes inconnus. Qu’il les ait choisis parmi les gens que nous connaissions (même si personnellement je ne les avais encore jamais rencontré) m’étonnait et me troublait. Je fus même sur le point de lui dire “Non”, mais je me dis qu’en fait, c’était certainement plus gênant pour lui que pour moi. Sans vouloir me donner vraiment le détail de ce qu’il avait prévu, il me donna ses instructions. Lorsque André et Henry arriveraient, je devais leur dire qu’il s’excusait, qu’il avait été retardé à son bureau par des clients étrangers imprévus et qu’il ne rentrerait que fort tard. Mais je devais insister pour qu’ils restent dîner et même, ajouta t-il :

– Tu leur diras de faire la réunion sans moi et de visionner la vidéo que j’ai fait lors du dernier entraînement, je l’ai laissé à côté du magnétoscope…
– Mais tu ne vas pas me laisser avec eux ? Tu m’as dit que tu voulais voir, non ?
– Ne t’en fait pas, je verrai… Je serai là mais caché. Puis il ajouta :
– Ah ! Au cas où, on ne sait jamais, je serais un peu en retard, j’ai installé le caméra là haut, sur la mezzanine. Dès qu’ils seront arrivés, va discrètement la mettre en marche. N’oublie pas, je ne voudrais surtout rien manquer.

Il ne voulut pas m’en dire plus. Je n’insistai pas et me dis que sans doute il avait tout prévu.

Je ne travaillais pas cet après-midi là et j’eus donc tout le temps souhaité pour préparer un repas faisant honneur aux invités.

Un gros plan montra mon index faisant rouler mon clitoris alors que j’ouvrais brièvement les cuisses mais soudain je me redressai d’un coup et avançai dans la pièce, jusqu’à un petit meuble où j’ouvris un tiroir pour en tirer un objet couleur chair. Tout d’abord incrédules, les hommes se regardèrent. Ils n’en croyaient pas leurs yeux, c’était trop beau ! Et pourtant ils durent bien finir par reconnaître en l’objet un superbe godemiché. D’ailleurs, pour ne laisser aucun doute, je m’étais assise sur le bord du canapé, mes deux chaussures appuyées aux extrémités de la table basse. Incroyable spectacle ! La caméra vint me cadrer à hauteur de la table basse, de la façon la plus impudique possible, les jambes ouvertes et relevées, livrant mon intimité. Ils me virent passer l’objet sur mes lèvres, visiblement entrouvertes, pour le lubrifier à la source de mes lèvres. Le gode que je tenais entre mes mains imitait parfaitement un membre masculin mais sa taille était plus importante ; plus importante que celle du membre de Robert en tout cas. Tout alla très vite alors. L’objet brillait, trahissant l’abondance de ma mouille. Il me virent fermer les yeux, empoigner la base du gode, de grosses couilles gonflées, et guider l’autre extrémité entre mes chairs. Robert avait filmé en gros plan et ils purent voir mes grosses lèvres charnues, amollies par l’excitation, s’arrondir autour du gland du gode. Le plan suivant me montrait, bouche ouverte, savourer la sensation de l’objet venant en moi. L’on voyait que je n’étais nullement inquiète de ses dimensions. Mon bassin ondulait au rythme du poignet qui forçait le godemiché en moi. Bientôt je l’absorbai complètement jusqu’au renflement et la caméra révéla que je le poussais en moi comme pour m’en pénétrer davantage.

Bien entendu, ces types avaient déjà vu des spectacles de ce genre, car ils étaient tous deux des habitués de cinéma porno mais la vision de leur hôtesse sur cet écran, comme extraite d’une de ces vidéos pornos qu’ils regardaient souvent, rendit soudain légitimes, à leurs yeux, les fantasmes les plus fous ! Je devins alors pour eux la plus vicieuse des actrices hard.

Pendant ce temps Robert enrageait d’être toujours retenu et de ne pas pouvoir seulement communiquer avec moi. Puis j’entendis du salon la voix d’Henry qui m’appelait :

– Evelyne ?
– Oui… Vous avez besoin de moi ? Dis-je en les rejoignant.
– Oui, nous avons un problème avec la vidéo, pouvez-vous venir ?

Je les rejoignis au salon sans me douter de quoi que ce soit.

– Tenez, venez voir un instant, me dit Henry en me désignant la place libre sur le canapé, entre son copain et lui, il n’y a que le début de l’entraînement sur cet enregistrement.

J’eus bien envie de leur dire que je me moquais totalement de leur entraînement, mais en bonne maîtresse de maison, je souris et vins m’asseoir entre eux. Les images défilèrent sur l’écran mais ne tardèrent pas à laisser place à la fameuse scène décrite plus haut. J’eus un moment de surprise puis de stupeur, ne reconnaissant pas immédiatement la scène en question mais soudain mon visage s’empourpra et je me figeai.

– Oh non !

Je serrai les poings et cherchai des yeux la télécommande.

– Arrêtez ça ! Arrêtez ça immédiatement ! Tout de suite ! Vous m’entendez ?

Mais les deux hommes ne bougèrent pas. Je m’apprêtais à me lever pour aller arrêter le magnétoscope mais deux mains vigoureuses me retinrent en m’appuyant sur les épaules, m’immobilisant sur le canapé.

– Mais…? Qu’est-ce qui vous prend ? Laissez-moi… Vous êtes fous !
– Du calme, tu vas rester bien tranquillement avec nous, me dit-il, se mettant soudain à me tutoyer, on va la regarder encore… Pour la troisième fois !

Lorsque André interrompit son cunnilinctus, je baissai les yeux presque machinalement et je vis mes lèvres toutes gonflées et congestionnées, la fente en était ouverte, luisante et ruisselante de salive et de mouille mêlées, au point que cela me dégoulinait entre les fesses.

– Encore un peu de patience ma belle, on va t’en donner du plaisir… Et du bon ! Tu vas voir, déclara Henry, sûr de lui !

Et après s’être accroupit, il approcha le godemiché de mes lèvres mouillées. Le pénis de caoutchouc écarta mes lèvres molles qui s’arrondirent autour de l’épaisse colonne. Mouillée comme je l’étais, je sus que s’ils le voulaient, ils n’auraient aucun mal à me pénétrer de la totalité de ce gode. Mais Henry ne l’enfonça pas, préférant le laisser à demi-introduit. Chacun des deux hommes alors, comme s’ils s’étaient concertés, soulevèrent une de mes jambes et m’obligèrent à les replier tout en les écartant
encore davantage. Dans cette position, je leur offris une vue parfaite, aussi bien sur mon sexe que sur mon anus plissé. Henry saisit le gode et le ressortit de mon sexe avant de le diriger, cette fois, entre mes fesses ! Je ne protestai pas. La sodomie ne m’était pas inconnue mais elle ne m’était pas non plus habituelle. Henry passa le gland du gode dans ma fente luisant de mouille et ajusta l’extrémité du gland sur mon anus. Je ne pus m’empêcher de me plaindre et de me cramponner soudain aux bords du canapé car Henry poussa, sans attendre, le jouet d’une main vigoureuse et força mon oeillet. André, quant à lui, me retenait. Je me mis à râler malgré moi. Oh non ! C’était trop ! Je saisis moi-même mes fesses à pleines mains et les écartai, espérant ainsi atténuer la douleur mais Henry ne fit qu’en profiter pour pousser davantage. La douleur devint atroce ! Mes mains abandonnèrent immédiatement mes fesses et je plantai mes ongles dans les jambes des deux hommes. Ah oui ! La douleur était vive mais il y avait autre chose. Un étrange sentiment fait de honte et d’excitation mêlées. Voyant mes mains si proches de leurs pantalons, les deux hommes sortirent leurs sexes sans hésiter. André bandait raide. Son sexe lui ressemblait : solide, robuste, épais, assez long sans être démesuré et surtout une grosse tête ! Pardon ! Un très gros gland ! Mais le sexe d’Henry n’était pas moins étonnant. Lorsqu’il l’extirpa de son pantalon je fus immédiatement stupéfaite par ce gros serpent, une sorte de grosse saucisse molle. Il ne bandait pas mais même dans cet état, son membre était aussi gros et plus long que celui d’André.

C’était stupéfiant ! Je compris alors que Robert n’avait pas choisi ces deux hommes au hasard. Les confidences de couloirs, la fréquentation commune des vestiaires du stade, avaient dû lui révéler ces détails et il les avait recruté tout exprès. Cela ne fit que confirmer ce que j’avais deviné : il voulait me voir prise par de gros sexes, des sexes plus gros que le sien. Et chaque fois que je pensai à mon mari, je me demandai où il pouvait être caché ?

Je ne montrai pas ma surprise devant ces deux queues. Ainsi, Robert saurait que ce genre d’engins ne m’étonnait pas… Ça lui apprendrait ! Et, oubliant toute convenance, je saisis ces bites sans hésiter pour les branler. Celle d’André sembla grossir et durcir encore davantage alors que celle d’Henry commença à se redresser. Je fus troublée par ce gros sexe, si lourd dans ma main. Même à l’état de flaccidité, mes doigts n’en firent pas le tour, c’est vous dire ! Leurs glands également étaient différents. André était circoncis alors que le gland d’Henry se recouvrait du prépuce et formait une sorte de petite “manche” de chair molle. Il était si long qu’il me fallut abandonner la queue d’André et m’y prendre à deux mains pour décalotter le sexe d’Henry. L’épais prépuce se retrouva roulé en un gros anneau charnu à la base du gland.