Je déteste me retrouver dans cette situation, comment puis-je rester crédible vis à vis de mon client si j’arrive en retard au premier rendez-vous ? J’ai beau jouir d’une bonne réputation dans ma profession avec mes 20 années d’expérience en tant que chargée d’affaires en finance d’entreprise, je pense que le dirigeant de start-up que je dois rencontrer ce matin ne va pas apprécier de perdre du temps à m’attendre.

Pourtant je suis une femme très ponctuelle, mais aujourd’hui tous les événements de la matinée ont joué sur mon respect des horaires. Pour commencer l’appel de mon ex-mari pendant mon petit déjeuner m’a bien éveillé. Faut dire que j’ai passé une bonne partie de la nuit à me faire plaisir sur le live sexe en direct avec des hommes que je ne connais absolument pas. C’est lui qui a la garde de notre fils Bastien cette semaine, mais il a soi-disant une panne mécanique et n’a pas la possibilité de déposer Bastien à la gare pour qu’il rejoigne l’université. Ce qui m’a agacé dans cet appel de mon ex, c’est que moi qui n’est pas le permis, je ne peux pas changer grand-chose à ses ennuis mécaniques… enfin pour que mon fils puisse rejoindre son campus, je me suis hâtée de me préparer. Un rapide passage sous la douche puis j’ai enfilé une fine culotte de dentelle, mes bas autofixants et une robe chasuble sobre en moulante. Ensuite j’ai demandé au chauffeur de taxi de faire un crochet pour récupérer Bastien chez son père et le déposer à la gare.

Ensuite en arrivant juste à l’heure au bureau, j’ai eu connaissance du message d’absence de ma collègue souffrante, sauf que l’idiote n’a pas laissé ce message sur mon portable mais sur mon répondeur professionnel. Donc en arrivant, j’apprends que je dois assurer son rendez-vous avec M Start-Up d’ici 15 minutes, mais pas à l’agence, non évidemment je dois me rendre à trois stations de métro pour le rencontrer dans ses bureaux.

Alors voilà comment à cet instant je me retrouve au pas de course dans l’escalier de la banque, mallette sous le bras, en pleine lecture d’une fiche client que je me dois de connaître d’ici 10 minutes.

Évidement dans la précipitation j’ai oublié ma veste dans mon bureau, heureusement que cette journée de fin avril est suffisamment douce. Mais je suis dans l’impossibilité de prendre le métro, mes tickets sont justement dans la poche de ma veste restée au bureau. J’interpelle vite un taxi et me jette sur le siège arrière et lui indiquant l’adresse du client. Le chauffeur semble bien occupé à me jeter des coups d’oeil dans le rétro, bon je sais que je suis plutôt bien pour une femme de 45 ans, mais là je pense qu’il devrait se concentrer sur la circulation. Il se gare devant l’immeuble très récent correspondant à l’adresse de la start-up, je lui règle la course en lui laissant un beau pourboire au passage, mais je n’ai pas le temps d’attendre qu’il me rende la monnaie. Le chauffeur me lance un clin d’oeil au moment où je le quitte en courant, il est vraiment chaud ce type.

Je me présente à l’accueil de l’immeuble, l’heure du rendez-vous est passé de 7 minutes déjà. Lorsque l’hôtesse me demande le nom de la personne que je dois rencontrer, je me sens blêmir… En fait je… comment dire … je ne sais pas, c’est le dirigeant de la société mais … Je vois déjà son collaborateur se mettre à rire, il est gonflé celui là, je lui lance un regard froid et lui dis « Monsieur, j’ignore peut être le nom de mon interlocuteur, mais je vois bien que vous vous ne méritez pas d’être en poste à l’accueil, vous devez à minima me sourire et non rire de mes déconvenues », et paf dans le dents le jeune rigolo à peine sortie de l’école. Je reprends mes esprits, ouvre mon dossier et annonce à l’hôtesse que je viens rencontrer M Benoit Dat. A cette instant son collaborateur éclate de rire, sans aucune retenu, je suis prise d’un coup de chaud affreux lorsque l’hôtesse me regarde avec beaucoup de compassion en m’annonçant que M Dat va m’accompagner jusqu’à son bureau. Le jeune collaborateur à qui je donne à peine 25 ans est donc le dirigeant que je dois rencontrer, et au lieu de m’excuser de mon retard je l’ai envoyé promener. Décidément cette journée est bien mal engagée.

Nous échangeons une poignée de main qui pour ma part est très moite et peu détendue puis il me demande de le suivre vers l’ascenseur. Une fois les portes refermées nous sommes seuls tous les deux, là je ressens un effet de douche froide, il ne rit plus et le plus sérieusement du monde il me dit : « Vous êtes une chargée d’affaire bien peu orthodoxe, je suis surpris et peu habitué à cela », je ne peux me cacher nulle part et lorsque je commence à ouvrir la bouche pour m’excuser, il me rétorque : « mais j’aime cette attitude, et vous me plaisez ». A cet instant il plonge vers moi et m’embrasse comme jamais, enfin comme un dieu, comme un amant torride et affamé. Mon souffle en est coupé, et lorsque la cabine s’arrête, il s’écarte et me sourit très stoïquement. Il s’avance dans le couloir, je le suis les jambes tremblantes, il s’installe dans son fauteuil et m’invite à prendre place face à lui. Je me ressaisis et je lui dis « Bonjour, je suis Valérie, je remplace pour aujourd’hui votre chargée d’affaire qui est souffrante ». Pour la suite, l’entretien s’est déroulé de façon très détendue, nous avons échangé et pu aborder tous les points importants dans la gestion de ses comptes.

Il garde un petit air amusé tout au long de notre entretien, il me lance des sourires et une étincelle d’amusement se reflète dans son regard. Notre entretien arrive à son terme, il me raccompagne à l’ascenseur, il est charmant ce jeune entrepreneur. Les portes s’ouvrent, je me tourne vers lui, lui tends la main et dis « Merci M Dat, ravie d’avoir pu vous rencontrer, ma collègue vous adresse les documents signés dès son retour », il me répond « Plaisir partagé Valérie, mais appelles moi Benoit à l’avenir… ». Une fois seule dans l’ascenseur je réalise ce qui vient de se passer, incroyable rencontre et pourquoi devrais je l’appeler Benoit à l’avenir alors qu’après ce rendez-vous il ne me verra plus. Une fois dans le hall d’entrée, l’hôtesse d’accueil m’interpelle pour me remettre un pli à mon attention, certainement la fiche de confirmation de l’entretien, je le glisse dans ma poche arrière de ma mallette et quitte ce bel immeuble.

 

Je décide de rentrer à pied pour me remettre de cette matinée très particulière, très vite une petite brise légère me rappelle que ma veste oubliée au bureau serait bien nécessaire, mes quelques frissons ne sont pas gênants et j’accentue la cadence de mon pas pour regagner le bureau. A l’angle de la rue de la banque, je remarque une superbe voiture rouge, une Alfa Roméo bien brillante, la portière s’ouvre et Benoît en descend. Je marque un arrêt lorsque je le vois avancer vers moi et me dire « montes j’ai prévenu ton agence que j’avais besoin d’une expertise plus poussée et que tu rentrerais en début d’après midi ». Je ne sais pas pourquoi, mais son audace me séduit et je monte dans son auto sans méfiance.

Il s’engage dans la circulation et sans lâcher la route du regard il me dit « quand je t’ai vu entrer dans l’immeuble avec ta robe moulante et tes tétons libres et dressés dessous, j’ai eu une érection. C’est ce qui a déclenché mon euphorie, et je refuse de calmer ma verge avec une branlette. Je te désire et il semble que l’offre que je t’ai transmise par l’intermédiaire de mon hôtesse d’accueil ne t’a pas frustrée puisque tu m’as attendu comme convenu. »

Ouh la la mais de quelle offre me parle-t-il ? Je n’en ai aucune idée mais à cet instant je ne cherche pas à comprendre. N’écoutant que l’humidité installée dans mon entre jambes, je me tourne vers lui et empoigne à pleine main son membre bien érigé. Imperturbable le gars, il se fait masturber mais continue à circuler comme si de rien n’était, enfin presque car sur visage semble se crisper. Soudain il fait une embardée et s’engage dans un parking souterrain. Il se gare rapidement et aussitôt il me regarde droit dans les yeux et me murmure « toi tu es la plus chaude des garces qu’il m’ait été donné de rencontrer ». Il me saisit par la taille et me fait passer sur ses genoux, ainsi caler entre le volant et son torse je suis très limité dans mes mouvements, mais je sens bien sur membre rigide qui frotte mon clitoris au travers de la dentelle. Ses lèvres absorbent les miennes, ses mains caressent ma nuque, mes bras puis me figent sur mes seins, il pince légèrement mes tétons. Mon corps est en effervescence je me crambe autant que possible. Il ouvre alors sa portière, la pousse du pied, et tout en me portant il sort de l’auto. Il me dépose sur le capot, il s’écarte de moi et sort une capote de la poche de sa veste, je me saisis de l’emballage, le déchire avec mes dents pendant qu’il ouvre son pantalon. Je déroule le préservatif, un peu hâtivement, sur son membre bien raide, la faible lueur de l’éclairage du parking ne me permet pas de bien le détailler mais au toucher il semble bien équipé.

Il me repousse pour me coller les omoplates sur le capot de sa voiture, d’un geste il arrache ma culotte et sans plus attendre il me pénètre d’un seul coup de rein. Et là j’en suis convaincue, il est rudement bien bâti ! Chaque coup de rein qu’il me donne me fait reculer un peu plus loin sur le capot et sur le chemin du plaisir. Les mouvements s’accentuent, je lui agrippe les fesses et réalise qu’il a un genou sur le capot mais il continue sans relâche ses mouvements de va et bien au creux de mon vagin, je mords son bras pour étouffer mes cris d’extase au moment même où il atteint lui aussi l’orgasme et laisse jaillir sa semence. Essoufflé il s’effondre sur mon corps et nous restons ainsi quelques instants à reprendre nos esprits. Il se redresse enfin et se retire doucement de mon intimité, il a la délicatesse de se tourner pour enlever son préservatif. Je m’assois en tailleur sur le capot et lui avoue doucement : « Pour un jeune homme de ton âge, tu es très entreprenant et vraiment habile ». Il rit à nouveau et me dit « mais tu sais je ne suis pas un perdreau non plus, à 30 ans je peux avouer avoir eu plusieurs expériences. », je m’exclame « 30 ans, mais je t’en donnais à peine 25 ! » et c’est à cet instant que je réalise que je viens de baiser un mec dont je ne connais que le prénom et la profession, c’est une première pour moi.

Il me tend la main et m’aide à me remettre sur pied, alors il me propose « Après ces joyeux préliminaires, nous pourrions peut-être en revenir à la proposition de départ ? ». Honteuse je lui avoue « euh… en fait je ne sais pas de quelle proposition tu parles, après notre entretien je suis rentrais à pied et lorsque tu m’as abordé au volant de ta bel auto, en fait je rentrais juste à mon bureau. » Il est à nouveau pris d’une crise de rire, alors soit je l’amuse beaucoup, soit il se moque sérieusement de moi. Il se penche dans l’habitacle de sa voiture attrape le pli qui déborde de la poche arrière de ma mallette et me le tend. Tremblante je le prend, contourne la voiture et m’installe sur le siège passager afin de profiter de la lumière du plafonnier pour lire le courrier.

« Valérie,

Ma secrétaire te remet ce pli à ma demande, je l’ai rédigé et envoyé par mail pour impression tant que tu es dans l’ascenseur.

Tes monts semblent être des merveilles… J’ai envie de t’emmener découvrir un lieu exceptionnel si tu es tenté par l’expérience, attends-moi dans la rue en bas de la banque dans 45 minutes.

Benoît »

Il démarre la voiture sans un mot de plus et quitte le parking.

 

 

Mais dans quelle aventure me suis-je lancée sans en avoir conscience ? Je me remémore ses mots et je rougis instinctivement en comprenant que mes monts dont il est question sont en fait mes seins. Je brise le silence :

« Alors en fait tu es attiré par ma poitrine ?

– Hum, oui comment ne pas l’être lorsqu’une femme se précipite devant moi avec les tétons si pointus que l’absence de sous vêtement ne laisse aucun doute ? »

Mes tétons pointus, sans soutif… mais oui je comprends, ce matin je me suis tant pressée à la salle d’eau que j’ai zappé le soutif, et ensuite les frissons ressentis dehors ont eu cet effet… je comprends mieux aussi les regards envieux du chauffeur de taxi ! Quelle allumeuse je fais, sans même en avoir conscience.

« Donc tu veux découvrir mes merveilleux monts, et pour le moment tu n’as trouvé qu’une grotte humide… pas trop déçu ?

– déçu ???!! certainement pas, sauf peut-être d’avoir été si peu préparé à cet assaut que ma prestation en fut abrégé. Mais là où je t’emmène j’aurais le loisir de profiter de ta poitrine, je vais pouvoir jouer avant, croquer des tétons, embrasser ton galbe autant que je le souhaite…

– et ou allons-nous ?

– dans un endroit intime et sensuel, un lieu de luxure très personnel…

– dis m’en plus, toutes tes paroles m’intriguent et éveillent en moi bien des sensations toutes très érotiques.

– chut, si tu continues toi aussi à me chauffer, il va falloir que nous fassions un nouvel arrêt dans un parking. »

Il gare la voiture devant un bâtiment ancien. Nous pénétrons dans un superbe loft qui héberge en fait le studio d’un photographe professionnel.

Benoît se fend d’un large sourire et m’explique alors pourquoi il m’a mené jusqu’ici.

« Je suis passionné de photo d’art mettant en scène des femmes dénudées, lors de ton passage dans mon bureau, l’image de tes seins nus sous ta robe mon grandement inspiré. Si tu n’y vois pas d’objection, j’aimerai que tu poses devant l’objectif de Paolo. »

J’en reste bouche bée, je ne suis pas coutumière de ce type d’activité, mais en même temps je ne suis pas une habituée des arrêts sexe dans un parking, alors pourquoi pas. Paolo, l’artiste photographe prend le temps de m’expliquer son art, il me propose de faire des clichés avec des poses et des expositions qui ne dévoileront pas mon visage. Il est enivrant cet artiste aussi je me laisse guider vers une cabine pour me dénuder et je prends place sur l’estrade.

Après quelques clichés Paolo me demande d’enfiler un peignoir pour visionner les premiers clichés. Il fait défiler les images sur son écran, je me place derrière lui et je suis stupéfaite de la qualité de son travail. Tout en regardant les superbes clichés, sur lesquels j’oublie que je figure, je sens la main de Benoît se glisser sous le peignoir jusqu’à mon entre jambe. Mon premier réflexe fut un sursaut, puis j’écarte mes cuisses pour lui laisser l’accès à mon clitoris. Je me laisse aller à ses caresses et en oubli la présence de Paolo. Doucement Benoît me guide vers une pièce sur la droite, puis il m’allonge sur un lit King size, il fait glisser la ceinture de mon peignoir, ses lèvres recouvrent mes tétons, ses mains maintiennent les miennes. Je me laisse aller dans ce flot de tendresse et de délicatesse. Il se redresse, enlève ses vêtements à son tour, enfile un préservatif, puis reprend l’exploration de mon corps du bout de la langue. Il s’attarde suffisamment sur l’un de mes tétons, positionne son corps contre le mien, ses jambes entre les miennes et doucement il me pénètre. Un soupir de désir m’échappe, je perçois discrètement le bruit d’un appareil photo dans la pièce, mais je ne m’en soucie pas, je suis emportée par le langoureux mouvement de va-et-vient du sexe de Benoit dans mon vagin. Il s’applique à faire durer chaque mouvement il fait tranquillement monter le plaisir dans chaque parcelle de mon corps. J’aimerai qu’il accélère, j’aimerai qu’il me prenne plus sauvagement pour atteindre un premier orgasme, mais il continue à jouer avec mes nerfs et c’est bon. Puis petit à petit, il accélère, il se redresse, son corps se crispe et dans un même mouvement nous atteignons tous les deux l’orgasme, la jouissance est très forte, je le sens répandre longuement sa semence. Epuisée et à bout de souffle je reste immobile sous lui durant plusieurs minutes, puis nous reprenons nos esprits et sortons de la pièce.

Paolo nous attend, il est heureux de nous montrer la série de photos très sensuelles qu’il a réalisé pendant nos ébats. Son travail est magnifique, je repars avec un magnifique cliché de nos deux corps emmêlés qui est très sensuel et pas hot.

 

Je suis vraiment reconnaissante envers Benoit pour cette expérience nouvelle, sensuelle et dont je garde un souvenir ému. Désormais je regarde mon corps et mes ébats sexuels différemment.

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